L’administration de sociétés en Suisse en 2 points clés

Dans le monde des affaires, et plus précisément pour la création d’entreprises, la Suisse offre un ensemble de conditions favorables à l’émergence de vos affaires. Ainsi, si vous êtes dirigeant d’une entreprise en Suisse ou porteur d’initiative, découvrez 2 points clés qui vous permettront d’administrer comme il se doit vos sociétés en Suisse.

Quel statut juridique choisir pour créer une entreprise en Suisse ?

Lorsque vous désirez donner vie à votre entreprise en Suisse, vous serez dès le début confronté à une plusieurs dilemmes, dont le choix de votre statut juridique. En effet, pour tous les porteurs de projets le choix du statut juridique représente une étape élémentaire. L’entrepreneur doit pour cela avoir une idée précise des contours et autres spécificités relatifs au bon fonctionnement de son business.

Il faut rappeler qu’en Suisse les formes juridiques les plus utilisées sont la SA et la SARL. Ces deux statuts ont un fonctionnement relativement similaire, mais requièrent des conditions à la base nettement différenciées. La plus importante concerne bien entendu les apports en capitaux propres initiaux. Le montant exigé pour la SA est plus faible que celui relatif à la SARL. On note d’ailleurs que de nombreuses initiatives naissantes se tournent vers ce statut pour lancer leurs activités.

Pour faciliter vos démarches lors de la création de votre entreprise, il est recommandé de s’adresser à des professionnels. Sur le site d’une fiduciaire telle que My-swiss-company.com vous trouverez des experts spécialisés dans le suivi et l’accompagnement des entreprises en Suisse.

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Comment fonctionnent les entreprises en Suisse ?

Que ce soit pour la SA ou pour la SARL, le fonctionnement est le même. Il requiert la mise en place de trois organes clés que sont l’Assemblée générale, le Conseil d’Administration et le Conseil de révision. Ce troisième organe n’a plus vraiment son importance lorsque l’entreprise, qu’elle soit une SA ou une SARL compte peu de salariés à temps plein. Il est également possible d’y renoncer sur accord des différents actionnaires de l’entreprise.

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Ainsi, dans leur fonctionnement, la désignation des signataires ou de personnes pouvant jouer ce rôle est possible. Il peut s’agir d’un membre du Conseil d’administration, dans le cas d’une SA, et du gérant lui-même lorsqu’il s’agit d’une SARL. Les personnes qui ne remplissent aucun des critères mentionnés plus haut, mais qui appartiennent à l’entreprise, peuvent être autorisés à signer au nom de la société. Cette situation exige uniquement de ces derniers qu’ils résident effectivement en Suisse, même s’ils n’ont pas la nationalité.

Notez que le fonctionnement de la SA repose essentiellement sur un apport de capitaux des associés. La SARL quant à elle, inclut des éléments particuliers tels que :

  • l’obligation statutaire d’effectuer des versements supplémentaires ou des peines conventionnelles,
  • le devoir de fidélité des associés,
  • l’immatriculation de tous les associés au registre du commerce.

La Suisse est, depuis plusieurs années, considérée comme un pays facilitant l’émergence de projets d’entreprise. Elle propose en effet un environnement favorable pour le développement d’une société. Afin de démarrer votre activité sereinement, contactez un professionnel en mesure de vous conseiller à chaque étape de la création d’entreprise.